
lundi 6 décembre 2010
Reviens.

vendredi 19 novembre 2010
Jim, viens quand tu peux- mais peux bientôt

mardi 2 novembre 2010
Et si un jour tu as de la peine- Rase Campagne
mercredi 20 octobre 2010
Et elle s'appelle comment?

lundi 11 octobre 2010
Sunday morning, praise the dawning

jeudi 2 septembre 2010
Détresse du présent

lundi 23 août 2010
L'épis de maïs rouge


dimanche 8 août 2010
Sous la pluie, ce soir
vendredi 23 juillet 2010
I'm your man
dimanche 4 juillet 2010
Un coeur dessiné au stylo bille

samedi 3 juillet 2010
Foodinguement vôtre

L’Entracte
47 Rue de Montpensier.
75001 PARIS
T 01 42 22 64 56
m° Pyramides
Bistrots et néo-bistrots
Catégories
Dînette-Snacks
Feeling
L’Entracte, c’est le business de Marcel, sorte de James Stewart en tatanes, bermuda et polo Lacoste. Très amène, il râle quand même un peu : il est au charbon depuis potron-minet, bien obligé de suivre ces jeunes de 35 ans qui (s')attaquent dare-dare au vin blanc du Gers (3€)! Il balade sa silhouette de grand escogriffe derrière le bar de son minuscule estaminet - si petit qu’il peste contre les bouteilles de Perrier et autres cochonneries dont les formes féminines prennent trop de place. Il leur préfère l’eau fraîche de sa pompe à bière-il racontera l’histoire. Pour les petites faims (on a surtout très soif chez Marcel), on déguste sur les tables en mozaïque jaune du chèvre sec (10€)-à effriter dans de l’huile d”olive au thym ou une assiette de ventrêche et saucisson (idem). On part quand Marcel se tire, vers 23 heures “parce qu’il n’a pas encore becqueté”.
Les Enfants Perdus
9 rue des Recollets
75010 PARIS
T 01 81 29 48 26
m° Gare de l’Est
Ripailles nioulouques
Catégories
Feeling
Le spleen du Dimanche soir guette. Les Enfants Perdus, c’est un nom qui sonne bien pour se vautrer un peu plus dans la mélancolie, non? Pourtant, à peine le pas de porte franchi, le non-goût de la fin de week-end disparaît, et vite. Très belle carte des vins. Le Chasse-Spleen (48€) choisi (on était là pour ça), on emprunterait bien l’escalier en colimaçon qui mène à la cave - histoire de s’offrir une dégustation à l’abri des regards - et s’adonner à des polissonneries d’enfants pas très sages. L’Artichaut (14€) met du temps à arriver - on se fait du pied sous la table- et les regards concupiscents des starlettes néo-LaChappelle qui ornent les murs. Le Bar (21€) l’air goguenard, cuit à point et la Saint-Jacques (idem) se marient bien avec le vin dépareillé. Les enfants n’aiment pas trop les légumes, et Les Perdus non plus, c’est dommage. On se prive finalement de dessert - pour aller jouer au bord du canal. Pas la peine de demander la permission.
dimanche 27 juin 2010
Des gars dans la cuisine

mercredi 23 juin 2010
Far West


vendredi 18 juin 2010
I find shelter

mardi 15 juin 2010
J'irai cracher sur D&G

samedi 12 juin 2010
Clic-clac

Les gens qui truffent leurs phrases de clichés m'agacent. Mais je me tais-sinon ils prendraient la mouche.
Cliché : 1 - n.m. Mot ou locution formant image, et qui est répété sans réfléchir. (...) A force de répétition, l'image est devenue invisible. (...) L'origine du cliché est ignorée pour la plupart de ceux qui l'utilisent. (...)
jeudi 10 juin 2010
Rire-Rêve

dimanche 6 juin 2010
Oh bigre!

jeudi 3 juin 2010
C'est gentil chez toi

dimanche 30 mai 2010
Perdue la gagne


jeudi 20 mai 2010
La collectionneuse

vendredi 14 mai 2010
You bet, pet

Peut-être que cette appréhension date de ce 6e anniversaire. Mon père m'avait emmenée chez le coiffeur et j'en étais ressortie avec les cheveux très très courts (comme un petit garçon). Je crois qu'il avait demandé "une coupe de printemps". Abomination. Je menaçais tour à tour de sauter par la fenêtre, d'annuler la fête d'anniversaire, de partir à jamais. Je hurlais. Il s'en moquait, je crois, le responsable de cet ignominie.
J'ai revu les photos de cet anniversaire, je prends l'air boudeur sur certaines photos, je suis encore au bord des larmes. Mais je crois que le chagrin s'est dissipé dans l'après-midi. Et puis j'étais si jolie avec ces petits cheveux et la jolie robe (avec un dos "tressé").
Il y a peu, mon coiffeur munichois m'a coupé les cheveux très courts, à la Jean Seberg (comme quoi ce n'est jamais moi qui décide ces coupes de garçonne). J'ai glâné de très nombreux compliments (et délivré l'adresse dudit coiffeur à tour de bras) mais ce n'était pas vraiment moi.
Je trouve pourtant Jean Seberg extrêmement belle dans A bout de souffle. Le couple qu'elle forme avec Belmondo me ravit. (Quel abdomen musclé il a!). Encore un film qui ne cesse de faire écho avec ce que je vis. C'en est presque dérangeant.
Michel (Bebel) à Patricia (Jean S.) sur le lit de P.:
"Si tu étais avec un autre type, tu le laisserais te caresser?"
Patricia à Michel -avec son accent américain :
Et puis un truc rigolo, dans la version que j'ai, le film est sous-titré en anglais. Je trouve les traductions de l'argot français truculentes :
No way, José (Mais non mon coco)
You bet, pet (Tu parles, Charles)
Je vous rassure le 25e anniversaire n'a pas trop mal commencé, j'ai petit déjeuné avec Valses de Chopin par Alexandre Tharaud, de la confiture de mûres de Lou et du thé Blue London du Palais des thés. Par contre, il y eut bien la petite crise inévitable : au lieu du coffret Eric Rohmer (22 films!) je n'ai eu que les 6 contes moraux. Mais nous avons commandé le coffret sur la boutique Télérama. Ouf.
jeudi 13 mai 2010
Actuellement je fais des mathématiques à temps perdu

mardi 11 mai 2010
Je ne sais pas comment je fais mon compte
