lundi 23 août 2010

L'épis de maïs rouge


En ce moment, il regarde Gloria. Grâce à moi. Gen- AH!

D. a dit en parlant de cette photo "dans la pièce rouge". Non, c'est ma combi qui est rouge, Dee!

Hier, alors que je désignais une veste de smoking un petit peu chiffonnée en l'interrogeant sur sa capacité à me vêtir, il a rétorqué d'un : "les filles peuvent porter du froissé sous prétexte d'un effet de style, mais là, les manches sont ridées." Ridées! J'ai pensé alors que lundi soir, je repasserai-et serai donc loin de toi-oh, pas si loin-mais si.

Hier je suis allée avec mon joli vélo rouge au Café Etienne Marcel-où ils ont refusé de nous servir un petit déjeuner sous prétexte qu'à midi, le Dimanche, il faut prendre leur brunch (qui ne me plaisait pas trop, et puis, je préfère le petit déjeuner!). Nous nous sommes donc partagé un cheesecake, qui vient de chez Costes. Là, il a dit qu'ils le préparaient comme ça- avec une crust comme une tarte-pour aller vite. Il ressemble à ça, le tien?- ai je demandé- Non. (Il met des speculos en miettes, lui.)

Il évoque souvent ses gourmandises new-yorkaises. A Barcelone, au café Virreina, il a dit : "c'est un des meilleurs sandwichs que j'aie mangé"- avant de se reprendre : "ah non, les sandwichs au pastrami du Carnegie Deli sont vraiment les meilleurs du monde!" Il fait de très bons épis de maïs - qu'il trouvait sur toutes les tables aux U.S alors qu'à la maison, jamais. Chez moi, nous avions des épis de maïs au dîner-avant d'aller aux Etats-Unis. -En accompagnement de quoi?- Rien. <Si, du beurre salé>.

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