dimanche 13 juillet 2008

Attachement-par essence naturel?


Un chemisier en voile de coton, avec des froufrous (vintage- sooo cheap)

Quelle absence...Des examens. Oui, pfff! Mon cerveau est tout encombré d'Economic Value Added, de carte perceptuelle, de technologie de rupture. 
Le tirage au sort des sujets de "Grand Oral de Management" m'a même fait frissonner- toute penaude, je tenais en main Le Sujet - dépitée. 
Puis ce fut plutôt grisant de se plonger dans un sujet hostile à première vue, mais qui est peu à peu devenu intrigant, tour à tour capricieux, énervant, puis attachant - je ne le changerais pour rien au monde maintenant. Oui, oui, je t'adore, mais j'ai hâte de te ranger dans la case "achevée", hihi.

Mais l'Examen (qui arrive, là, dès après-demain), ne m'a pas accaparée au point de délaisser Le Blog. Une rencontre - presque aussi affolante que celle de mon sujet d'oral (rires), a un tantinet bousculé mon doux cheminement. Mon départ imminent de la ville de G. me porte à refouler le terrain de l'attachement.
Une nouvelle question me taraude alors : dans quelle mesure l'attachement est-il naturel? Ne peut-on pas s'empêcher ou, au contraire se vautrer dans l'attachement? (Je me rends compte du côté péjoratif de "vautrer". Peut-être est-il révélateur de ma légère aversion à cette perte d'indépendance affective, hihi.)

(A suivre...)