lundi 31 octobre 2011
mercredi 24 août 2011
Mon appartement d'amoureux à Paris
dimanche 31 juillet 2011
L'été en décalé- Bonifacio et Berlin
mardi 5 juillet 2011
D'aphrodites et de salomés - L'hôtel Particulier
dimanche 3 juillet 2011
Retrouver le goût des bains de mer
dimanche 19 juin 2011
Se précipiter à petits pas : la grâce des personnages d'Ozu

mardi 31 mai 2011
L'ogre du marais
dimanche 29 mai 2011
Amour, audace, modernité-Istanbul


dimanche 22 mai 2011
Lumières de la ville et bonheur- Istanbul


dimanche 8 mai 2011
I love B.B

mardi 3 mai 2011
Tea-Rex

samedi 16 avril 2011
Name dropping

lundi 28 février 2011
Le Métro ou les histoires du reflet dans la vitre

dimanche 27 février 2011
Tu m'as dit je t'aime, je t'ai dit attends - Les ambiances de Jules et Jim



mercredi 16 février 2011
Das Photoautomat- le levi's 501 et SoPi*

mardi 8 février 2011
Se manipuler- quel ennui!

Dans Les belles images de Simone de Beauvoir, Laurence s’évertue à trouver des slogans publicitaires, alors que Jean-Charles l’attend dans le lit - il sent le tabac blond et un autre truc- je ne me rappelle pas, la lavande peut-être. Elle a ensuite une réflexion sur le côté pratique de la pilule, parce que, quand même, se “manipuler”, quel ennui.
Je m’interroge sur ma capacité à tout retenir, à conserver ces balises au fond de moi qui me préviennent de tout danger et qui s’agitent lorsque qu’elles se rappellent, me piquent du souvenir. Vice ou vertu? Ses cris et ses menaces restent vives et se ravivent quand d’autres se livrent à ces actes d’intimidation.
Ce sont mes pensées lors des trajets pendulaires d’Hôtel de ville à chez moi- où à partir de Rambuteau. J’aime assez cette rue, la librairie des Cahiers de Colette et les cupcakes de Berko (très jolis, meilleur le matin, quand hurle la faim- à mon avis, ravissants à tout moment). Suis allée Aux deux amis rue Oberkampf ce soir, ce n’est pas si loin de chez moi pourtant, mais j’y remarque plus les odeurs et les gens- la patine m’a éloignée des miens.
Je n’y emmènerai pas Mère mais c’est un endroit réjouissant, on y gueule joyeusement (ah, le bruit- ça devait être vraiment bien pour ne pas m’avoir fait fuir!). On fend avec plaisir la foule jusqu’aux tables du fond où l’on peut dîner- bien. Ne pas venir pour des tapas mais s’en régaler. Y revenir pour des tapas mais n’en pas trouver (je suppute!). Aucune idée de la carte, elle est griffonnée sur un bloc note au crayon.
lundi 31 janvier 2011
Rise up and save this f*cking world

Patty Smith et Robert Mapplethorpe
Just Kids vaut le coup d'être lu. Surtout s'il est entamé dans l'A380 au dessus de l'Océan, après le documentaire sur YSL- qui est si touchant avec ses lunettes de taupe et son sourire qui avalerait presque ses mots. Je n'ai pas la même tendresse pour PB.
dimanche 23 janvier 2011
Somewhere (Et nulle part)

dimanche 16 janvier 2011
Le chat de Greuze, sa rue-et la cocotte
